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mardi 3 octobre 2017

Livroscope's Villains #1: Moriarty de Kim Newman.



Bonjour à tous et à toutes !

Je suis AnGee du Livroscope, j’espère que vous allez bien et que vous êtes prêts pour une nouvelle chronique ! Vous savez ce qui me rend heureuse ? Le fait que nous sommes enfin en Octobre et que nous allons donc pouvoir nous attaquer à ce que je préfère dans l’année : le mois Halloween ! Pour cette nouvelle édition, j’ai choisi de me focaliser sur un thème en particulier (un peu comme j’ai déjà pu le faire par le passé avec des numéros sur les vampires ou les sorcières). Et le thème de cette année sera les méchants, ou « villains » en anglais. Pendant un mois, nous nous pencherons sur le mal, la méchanceté, ceux qui conçoivent des plans machiavéliques grâce à leur intelligence sans pareille. Pour commencer, quoi de mieux qu’un méchant iconique : le célèbre Professeur Moriarty, ennemi juré de notre cher Sherlock Holmes ? J’ai récemment lu le roman Moriarty de Kim Newman, que je vous propose de découvrir aujourd’hui. En espérant que cette chronique vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture ! :)

Le Livroscope’s Villains, rendez-vous Halloween !
Pour démarrer sur de bonnes bases, voici quelques informations concernant ce rendez-vous du mois. Depuis la création du blog, j’ai décidé de mettre Halloween à l’honneur chaque mois d’Octobre. Il s’agit de ma période préférée de l’année, alors pour la célébrer, je mets les petits plats dans les grands. Au programme, je vous proposerai dix chroniques consacrées cette année aux méchants, aux villains, aux bad guys. Il y aura de tout : du méchant culte, du livre, de la série télévisée, du cinéma… Bref, beaucoup de surprises sont à venir ! Je vous invite à découvrir mes précédents articles Halloween en suivant le lien ci-dessous !


Kim Newman, c’est qui ?
Vous le savez sûrement si vous avez l’habitude de suivre mes chroniques, j’aime commencer mes articles en présentant les auteurs du jour. Cependant, dans le cas de Kim Newman, nous ne sommes pas face à un inconnu mais bien à quelqu’un que nous connaissons déjà. En effet, j’ai déjà eu l’occasion de parler de lui lors d’un challenge portant sur les vampires auquel j’avais participé il y a quelques années : j’avais lu son célèbre roman Anno Dracula, un de mes coups de cœur encore à ce jour. Je vais donc éviter de me répéter et, à la place, je vous invite à aller consulter l’article que je lui avais consacré en suivant le lien ci-dessous !


Moriarty :
Résumé :
De retour de l’étranger après une périlleuse mission de chasse au cours de laquelle il a failli perdre la vie, le colonel Sebastian Moran tente de reprendre du poil de la bête à Londres. Une vieille connaissance le met en contact avec le tristement célèbre Professeur James Moriarty. Moriarty contrôle toute la puissante industrie du crime dans la capitale et ses environs et se distingue par son esprit incroyablement génial et calculateur. Terriblement intelligent, il va faire de Moran son bras droit. Ce dernier livre ici le récit de nombreuses aventures au cours desquelles il a assisté le professeur : vengeance, profit, ou juste pour prouver son génie, toutes les opportunités sont bonnes pour Moriarty…

Ce que j’ai pensé du livre :
A la sortie de Moriarty en librairies, j’étais très excitée à l’idée de me plonger dans ce roman et ce pour plusieurs raisons. Tout d’abord car, comme vous le savez, je suis une vraie fan de Sherlock Holmes. Tout ce qui touche donc à l’univers du héros d’Arthur Conan Doyle attire mon attention et il fréquent que je me lance dans la lecture de pastiches, hommages et autres livres à son sujet. Ensuite, j’ai avec les années développé une admiration pour Kim Newman, dont j’adore le style et l’imagination. La combinaison des deux me paraissait donc très prometteuse ! Alors lorsque j’ai pu enfin mettre la main sur le livre, je me suis embarquée confiante dans l’aventure pour un résultat… mitigé.

Tout n’est pas à jeter dans ce livre, je tiens à le préciser tout de suite. On y retrouve d’abord la célèbre imagination de Kim Newman, que j’appréciais déjà dans sa saga Anno Dracula. Même en partant de quelque chose de très connu (Dracula ou ici Sherlock Holmes), il parvient à réinventer tout un univers original et délirant. Ce n’est pas de la réécriture dans le sens classique du terme : s’il y a énormément d’influences holmésiennes dans ce roman, il va cependant plus loin et propose donc un Moriarty sauce Newman. 

Les amateurs de Sherlock Holmes se feront une joie de relever les multiples références à l’univers d’Arthur Conan Doyle. Titres des intrigues, personnages présents, éléments des histoires… Tout y passe ! Alors si vous êtes un fan du détective, ce livre risque de fortement vous intéresser, ne serait-ce que pour figurer dans votre collection ! Malheureusement pour moi, ces deux éléments n’ont pas été suffisants pour moi pour faire de cette lecture un vrai bon moment.

En lisant les premières pages, j’ai tout de suite senti que j’allais avoir un problème majeur pendant ma lecture : le style. Pourtant, comme je l’ai déjà dit, j’adore Kim Newman, je trouve qu’il écrit très bien et qu’il sait raconter des histoires parfaitement bien. Cependant, ici, les intrigues sont racontées par Sebastian Moran, présenté comme l’acolyte de Moriarty. Et pour donner vie à son narrateur, Newman utilise un ton et un vocabulaire assez particulier que je trouve trop décalé. On peut aimer, bien évidemment, mais dans mon cas j’ai été plus déroutée qu’autre chose, et pas dans le bon sens du terme. J’ai eu énormément de mal à accrocher au livre en partie à cause de cela.

J’ai aussi eu beaucoup de mal avec des éléments que j’ai trouvés plutôt « discordants » par rapport au caractère de Moriarty. Dans l’ensemble, j’ai assez bien aimé le personnage et sa façon de concevoir des plans, le fait qu’il soit très minutieux et aille toujours plus loin, mais j’ai été assez étonnée par certains points qui détonnent de l’image que j’avais de lui. Par exemple, le fait que Moriarty gère un réseau de prostitution ne me choque pas spécialement, c’est cohérent avec l’idée qu’il gère le crime londonien sous tous ses angles. En revanche, le fait que l’entrée de son bureau soit un bordel ou que des demoiselles viennent lui apporter du thé à poil, ça me parait trop… Too much. J’en sortais presque de l’intrigue tellement je trouvais ça trop gros.

En parlant des personnages, dieu que je n’ai pas aimé Sebastian Moran… Je l’ai trouvé ennuyant au possible. C’est un personnage très redondant, qu’on peut résumer à deux mots : la chasse. J’ai arrêté de compter le nombre de fois où la chasse est mentionnée. Là où Watson servait principalement à sublimer le personnage de Holmes en nous narrant ses histoires, Moran est ici tellement présent que Moriarty passe souvent au second plan. Ce qui est dommage : si je lis Moriarty, c’est pour y trouver, justement, Moriarty… 

Le livre contient de nombreuses histoires, qui peuvent se lire indépendamment les unes des autres. Il y a à boire et à manger. Certaines intrigues sont plutôt originales, comme lorsque Moriarty cherche à se venger de l’un de ses anciens disciples en lui faisant croire à l’existence de la vie sur Mars, ou celle mettant en scène la célèbre Irène Adler. Je pense qu’il s’agit de mes deux intrigues préférées, avec peut-être la « parodie » du chien des Baskervilles. En revanche, j’ai eu du mal avec les autres histoires, que je trouvais principalement longues et mal rythmées. Prendre une nouvelle de dix ou quinze pages et la transformer en une histoire de cinquante, ça implique de modifier et rajouter pas mal de choses, et j’ai malheureusement trouvé que ce n’était pas toujours réussi.

Au final, j’ai été assez déçue par ma lecture de Moriarty. Je m’attendais à quelque chose de très différent et aussi de nettement meilleur de la part de Kim Newman. Je suis assez sévère avec le livre, mais je le répète : tout n’est pas à jeter dans ce roman, il y a tout de même des points intéressants et de bonnes idées. Et ce n’est pas parce qu’il m’a déplu qu’il ne faut pas le lire : il risque de peut-être vous séduire plus que moi ! :)

Et voilà, c’est tout pour ce premier numéro du Livroscope’s Villains ! J’espère que cette thématique d’Octobre vous plaira et que vous avez apprécié cette chronique, n’hésitez pas à me laisser vos impressions en commentaire, je vous réponds toujours avec plaisir ! On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous et lisez beaucoup ! :)

AnGee.

mardi 12 août 2014

Le Mois Sherlock #2: Un certain Dr Watson, de David Stuart Davies.

Bannière par Psychic-TV.

Bonjour à tous et à toutes, mes amis lecteurs!

J'espère que vous allez bien et que ce début de semaine commence bien pour vous! Je suis ravie de vous retrouver en ce mardi pour une nouvelle chronique, la deuxième de notre mois consacré au détective le plus célèbre de la fiction, j'ai nommé Sherlock Holmes! Après un petit détour par la série BBC Sherlock, dont la modernité et l'originalité expliquent en partie le succès, je vous propose de nous pencher aujourd'hui sur un livre un peu spécial. Pourquoi spécial? Parce qu'il s'agit d'une aventure de Sherlock Holmes, mais qui n'a pas été écrite par Arthur Conan Doyle: depuis la mort de l'auteur, nombreux sont les écrivains qui ont repris ce héros, que ce soit pour écrire des parodies, ou des suites. Le livre du jour, c'est Un certain Dr. Watson, de David Stuart Davies, une réécriture des premières aventures de Sherlock Holmes. Bonne lecture à tous :)

Les articles Sherlock sur le blog:
Depuis quelques temps, j'ai décidé de me replonger dans l'oeuvre d'Arthur Conan Doyle autour de Sherlock Holmes, et aussi de consacrer à ce personnage un mois à thème. Vous pouvez donc déjà retrouver plusieurs articles à ce sujet sur le blog, articles que je vous invite à retrouver grâce au lien ci-dessous!



David Stuart Davies, c'est qui?
Commençons cette chronique par un point important: l'auteur! Comme je l'ai mentionné plus haut, notre auteur du jour, ce n'est pas Arthur Conan Doyle, papa de Sherlock Holmes, mais David Stuart Davies.
Né en 1946, David Stuart Davies s'est d'abord tourné vers le professorat pour enseigner la littérature. Cette dernière est pour lui une véritable passion, et c'est donc tout naturellement qu'il se lance dans l'écriture et la publication. Mais attention, il n'écrit pas n'importe quoi, non, il a décidé de se consacrer en partie à Sherlock Holmes. Il est en effet fou du détective, et écrit donc des livres autour de son univers: des romans, sous le titre de "The Further Adventures of Sherlock Holmes" (The Veiled Detective, The Scroll of the Dead, ou celui que nous allons aborder aujourd'hui), ainsi que des essais, notamment autour des adaptations de Sherlock Holmes.
En France, certains de ses romans sont publiés chez Fetjaine.


Un certain Dr Watson:
Résumé:



1880. Pour John Walker, la vie n'est pas vraiment rose. Ce médecin militaire vient de se faire renvoyer de l'armée pour faute grave, et est obligé de rentrer en Angleterre, déshonoré, fauché, et désespéré. Pendant le trajet en bateau qui le ramène dans son pays natal, il rencontre un homme avec lequel il sympathise, et qui lui promet de l'aider. En réalité Walker est tombé entre les mains de l'un des sous-fifres du Professeur Moriarty, un incroyable cerveau criminel qui gère tout un réseau de vols, arnaques manipulations et autres affaires frauduleuses. Moyennant une nouvelle réputation et une rémunération, Walker devient Watson et doit espionner un jeune homme au génie prometteur qui pourrait mettre à mal les plans de Moriarty: Sherlock Holmes...


Un retour aux sources:
Holmes et Watson. Watson et Holmes. Un duo incontournable de la littérature. Il est rare de penser à l'un sans penser à l'autre. Ces deux héros se sont rencontrés pour la première fois dans A Study In Scarlet, alors que chacun cherchait un colocataire afin de payer un loyer moins élevé. Une rencontre bienheureuse entre un médecin sympathique et un détective aux méthodes uniques qui allait se transformer en une amitié solide qui traverse les années sans cesser d'exister.

David Stuart Davies nous propose, avec Un certain Dr Watson, de revenir en arrière et de reprendre avant le début de la relation que nous connaissons. Son postulat: et si le docteur Watson avait été une personne légèrement différente? Un Watson au passé et aux motivations plus troubles que le personnage original. Le but de ce changement est de proposer une version alternative de la relation entre Sherlock Holmes et John Watson, et de donner à l'ensemble un ton un peu plus dramatique, plus noir. 

John Watson apparait donc sous une première identité, celle de John Walker. Son nom sera ensuite modifié pour devenir le John Watson que nous connaissons si bien ("Elementaire, mon cher Watson"). L'intrigue démarre alors qu'il est en Afghanistan, en pleine guerre: en tant que médecin militaire, il se doit de soigner les soldats blessés au combat. Dans le canon original, Watson est lui-même blessé et rapatrié en Angleterre. Ici, l'histoire de Watson est un peu moins glorieuse: à cause de certains événements que je vous laisse découvrir, il est renvoyé de l'armée pour faute grave et expédié comme un moins que rien dans son pays natal. Le background du personnage est déjà un peu terni par rapport à ce qu'on en connait. Mais cela ne s'arrange pas lorsqu'il rencontre un "méchant" culte de l'univers de Sherlock Holmes: Moriarty.

Moriarty, génie du crime:
Aaaaaaah Moriarty! Si vous vous intéressez un peu à l'oeuvre de Arthur Conan Doyle, ou que vous avez vu quelques unes des adaptations des enquêtes de Sherlock Holmes, il est fort probable que vous connaissiez ce personnage. 

Dans le canon original, Moriarty est un personnage qui apparait bien plus tardivement que dans le roman de David Stuart Davies, et même si on a l'impression, en raison de sa renommé, qu'il est PARTOUT, il est en fait présent dans un petit nombre seulement d'histoires. Néanmoins, son importance reste grande.

James (ou parfois Jim) Moriarty est surnommé dans l'oeuvre de Arthur Conan Doyle "le Napoléon du crime". Extrêmement intelligent, cultivé et calculateur, il a choisi de mettre son génie au service du crime en montant un réseau criminel des plus impressionnants. C'est, en gros, l'inverse de Sherlock, sa nemesis: certains spécialistes de Sherlock Holmes avancent même l'hypothèse selon laquelle notre héros aurait en fait été schizophrène et qu'il était à la fois Moriarty et Sherlock Holmes. Une théorie intéressante! 

James Moriarty est assez fréquemment présent dans les adaptations de Sherlock Holmes puisqu'il est reconnu comme étant THE BEST VILLAIN de l'univers de la galaxie. Je vous ai déjà parlé d'Andrew Scott dans Sherlock, mais j'ai aussi appris que Natalie Dormer (qui est une actrice qui pète un peu la classe. Franchement. J'adore cette actrice. VRAIMENT) l'interprétait aussi dans Elementary

Mon avis sur ce livre:
Bon. Vous l'aurez peut-être remarqué si vous passez sur le blog depuis quelques mois, je suis prise ces derniers temps d'une folie Sherlock. Mi par passion mi par obligation. Du coup, dès que mon regard tombe sur le moindre objet faisant référence de près ou de loin à Sherlock Holmes, à Arthur Conan Doyle ou les détectives, je fonds dessus tel un rapace qui crève de faim. Autant vous dire que lorsque ma mamie adorée m'a offert Un certain Dr Watson, j'étais ravie! J'avais hâte de le lire, et le garder en prévision du mois Sherlock Holmes fut difficile. Enfin, après des semaines d'attente, j'ai pu me plonger dedans! Qu'en ai-je pensé? Et bien... Bof. Je dois avouer être plutôt déçue de ma lecture d'Un certain Dr Watson, malgré un gros potentiel. Voici pourquoi.

Au tout début de ma lecture, j'étais plutôt enthousiaste. L'idée de découvrir une histoire plus centrée sur Watson que sur Holmes me plaisait bien: c'est un personnage que j'apprécie beaucoup, et je trouve que parfois son importance est un peu sous-évaluée. Watson est important à plein de niveaux: il est le narrateur de la plupart des histoires de Sherlock Holmes, il est son plus proche ami et l'aspect relationnel entre les deux personnages est capital. Le point de départ du livre me parlait, et j'étais curieuse de voir cette version "et si Watson était un imposteur" avec en tête cette idée qu'on connait Watson pour sa loyauté envers Sherlock.

Le problème, c'est que cet aspect prometteur en reste, pour moi, là. Le début est assez entraînant et donne envie de découvrir la suite, mais au bout de quelques pages, le rythme retombe. J'ai vraiment eu une sensation de lenteur pendant la première partie du livre, j'avais du mal à avancer dans ma lecture. Je pense que cela vient du fait qu'il y a plusieurs narrations en même temps: nous avons deux récits à la troisième personne, celui autour de Sherlock, et celui autour de Watson. A cela, on ajoute les extraits du journal du Watson, qui répètent un peu des éléments qu'on connait déjà, ce qui crée un effet de redondance pas super agréable. On a l'impression de ne pas avancer...

Et cet effet de redondance, on le retrouve aussi dans le reste du livre. David Stuart Davies a choisi de ré-écrire les premières aventures de Sherlock Holmes et Watson, à savoir entre autres A Study In Scarlet. Ayant relu ce livre il y a peu, j'ai vraiment eu encore une fois l'impression de ne pas avancer, de ne pas découvrir quelque chose et de nouveau, bref, je n'ai pas eu de grosses surprises avec ce livre.

Encore une fois, c'est dommage, parce que le potentiel était grand au départ! En y réfléchissant, je pense que j'aurais davantage apprécié le livre avec un autre système de narration, en reprenant peut-être la narration à la première personne de Watson, typique des récits de Arthur Conan Doyle.

Ce n'est pas un livre que je regrette d'avoir lu, parce qu'il a quand même le mérite de proposer une vision un peu différente du personnage de John H. Watson, un point que je trouvais intéressant. Mais pour le reste, je n'ai pas été conquise. Je sais que David Stuart Davies a écrit d'autres romans pour sa saga des nouvelles aventures de Sherlock Holmes: je me tâte pour en lire un autre, peut-être The Scroll of the Dead, histoire de voir ce que ça donne...

Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui! Si vous avez lu ce livre, ou un autre roman de David Stuart Davies, n'hésitez pas à me laisser vos impressions en commentaire, je suis curieuse de savoir ce que vous en pensez! J'espère que cet article vous a plu, on se retrouve d'ici quelques jours pour une nouvelle chronique! En attendant, prenez soin de vous :)

AnGee Ersatz*




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