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samedi 29 avril 2017

DisneyOscope #15: Aladdin (1992).


Bonjour à tous et à toutes!

Je suis AnGee du Livroscope, j'espère que vous allez bien et que vous êtes prêts pour une nouvelle chronique! On se retrouve aujourd'hui pour le quinzième (et oui, déjà!) numéro du DisneyOscope, le rendez-vous où je vous présente un long-métrage Disney. Ce mois-ci j'ai choisi de retomber en enfance avec l'un des Disney les plus célèbres: Aladdin, sorti en 1992. Il s'agit, avec Le Roi Lion, du film que j'ai le plus vu dans ma vie et j'étais impatiente de pouvoir vous le présenter. En espérant que cette chronique vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture! :)

Le DisneyOscope:
Pour celles et ceux qui découvriraient le blog pour la première fois ou qui ne connaissent pas le DisneyOscope, commençons par une petite présentation de ce rendez-vous. Je suis une fana de Disney depuis que je suis toute petite, et comme j’aime me lancer dans des défis impossibles, j’ai décidé de vous présenter chaque mois un film Disney. Et pour ne pas perdre de vue le côté littéraire de ce blog, j’ajoute à chaque présentation de film une petite chronique d’un livre qui a un lien plus ou moins proche avec l’oeuvre Disney. Il peut s’agir de l’oeuvre qui a servi de support d’adaptation, ou d’un livre qui partage des thèmes similaires. Cependant, comme je suis assez en retard ce mois-ci, j'ai fait l'impasse sur le roman...


Aladdin:
Résumé:
A Agrabah vivent Aladdin et Jasmine, que tout oppose. Aladdin et son singe Abu volent ce qu'il leur faut pour subsister chaque jour, tandis que Jasmine, fille du Sultan, se sent étouffée dans sa prison dorée. Sa situation empire encore lorsque son père, conseillé par Jafar (qui ne rêve que d'une chose: prendre la place du Sultan), se met en tête de la marier. Le destin d'Aladdin change lorsqu'il met la main sur une incroyable lampe contenant un génie capable d'exaucer ses voeux les plus chers...

Quelques informations sur le film:
Aaaaah Aladdin, le film de mon enfance! Sorti en 1992 (une année formidable. Non, rien à voir avec le fait que je suis de 92), Aladdin est un projet qui fut mené par John Musker et Ron Clements, tous les deux nés en 1953. Les deux hommes ont l'habitude de travailler ensemble et ils se trouvent par exemple derrière Hercule, La princesse et la grenouille ou, plus récemment, Moana. Basé sur l'histoire Aladdin et la lampe magique, que l'on retrouve dans Les mille et une nuits, le film, dont la production commença en 1988; fut très tôt pensé comme un film musical avec de nombreuses scènes chantées. Les musiques sont d'ailleurs composées par Alan Menken, dont j'ai déjà parlé dans d'autres chroniques Disney, le compositeur phare de la compagnie depuis de nombreuses années. Aladdin demanda pas mal de recherches au niveau des décors et du character design, s'inspirant par exemple du film The Thief of Bagdad pour la représentation d'Agrabah, ou des acteurs Michael J. Fox puis Tom Cruise pour le personnage d'Aladdin. 
Passons au casting vocal: Scott Weinger prête sa voix à Aladdin, doublé en français par Paolo Domingo. Linda Larkin et Magali Barney se transforment en Jasmine. Le génie, quant à lui, est doublé en anglais par Robin Williams, et, en français, par le non moins légendaire Richard Darbois (Richard, si vous me lisez: vous êtes le héros de mon enfance). Enfin, Jafar, grand méchant du film, est doublé par Jonathan Freeman et Feodor Atkine, célèbre doubleur (par exemple de House dans la série du même nom) et acteur.
Le film fut un énorme succès commercial, rapportant plus de 500 millions de dollars pour un budget de 28 millions. Il fut nominé dans plusieurs cérémonies, principalement pour sa bande-originale de qualité. 
Je vous laisse ci-dessous un aperçu du film avec la super chanson Prince Ali, meilleure chanson de l'univers. Point.



D'Aladdin à Prince Ali: 
Lorsqu'on pense à Disney, on pense très rapidement aux histoires de jolies jeunes femmes chantonnant en attendant l'amour, qui se matérialise le plus souvent sous la forme d'un prince charmant. La jeune fille est, d'ailleurs, le plus souvent une princesse qui s'ignore, soit dans ses manières, soit dans son héritage. C'est par exemple le cas de Cendrillon, qui s'occupe des corvées ménagères le jour et danse avec le prince la nuit, d'Aurore devenant Briar Rose, ou de Blanche-Neige, cachée dans la maisonnette des sept nains. Les récents films Disney gardent encore un peu ce schéma, comme Raiponce, où l'héroïne ignore tout de son véritable statut.
Dans Aladdin, on retrouve un peu une idée similaire, mais avec cette fois un garçon qui se retrouve transformé. Aladdin est un voleur, qui passe ses journées à esquiver les gardes du sultan pour voler quelques fruits pour se nourrir. Un peu charmeur, il possède aussi un grand coeur. Alors lorsqu'il se transforme, grâce au génie, en Prince Ali, son nom n'est pas la seule chose à changer...

Ce que j'ai pensé du film:
On a (presque) tous un Disney qui a marqué notre enfance. Et lorsque je parle aux gens autour de moi nés à la fin des années 80 ou dans les années 90, les deux titres qui reviennent le plus sont sans nul doute Aladdin et Le Roi Lion, comme deux références incontournables. En ce qui me concerne, il m'est tout simplement IMPOSSIBLE de choisir entre les deux. Alors si ça vous avait soulé que j'encense Le Roi Lion, quittez vite cette chronique parce que je vais faire la même chose pour Aladdin.

Prenons d'abord l'histoire. Absolument prenante, elle parvient à conjuguer aussi bien l'action avec des scènes palpitantes (Aladdin dans la grotte, essayant d'échapper aux gardes ou encore face à Jafar) avec des moments plus propices à la romance avec, évidemment, Ce rêve bleu. On ne s'ennuie pas, il se passe beaucoup de choses et on a qu'une envie: le revoir encore. 

Le film est également très connu pour ses personnages iconiques, Aladdin et Jasmine en tête. J'aime beaucoup Jasmine et son côté un peu têtue, car je suis un peu comme cela aussi. Aladdin est charmeur, attendrissant et j'aime la relation qui l'unit à Abu et aux autres personnages. Mais pour moi, les personnages qui se détachent sont sans nul doute Jafar, Iago et le génie. Jafar, pour commencer, est un méchant comme on les aime, prêt à tout pour atteindre son objectif. Iago est un acolyte SUPER (j'adore Iago, vraiment, du fond du coeur). Enfin, le génie et son humour sont LA force du film, le truc inoubliable. Ce personnage est formidable. C'est tout.

Je ne peux pas parler de ma passion pour Aladdin sans vous parler de la musique de ce film. Si on me met devant Aladdin, c'est fini, vous n'entendez que moi chanter (ou plutôt hurler). J'enchaîne les "rien qu'un morceau de paaaaaain" et les "Il y a du monde au balcon" sans problème, et je verse ma petite larme sur ce rêve bleu. La musique est incroyable dans ce film. Vraiment incroyable. 



Et si je chante toutes les chansons à tue-tête, croyez-moi, je récite aussi tous les dialogues, qui sont très réussis. Il y a beaucoup d'humour dans ce film, principalement dans les dialogues. Iago est LE roi de la phrase qui fait mal, et le génie déroule les blagues à toute allure. Plus d'une phrase dans ce film est culte!

En bref, Aladdin est un film que j'aime énormément et que je recommande à tout le monde. C'est une petite pépite qui me fait toujours sourire et que je partagerai avec mes enfants (si un jour j'en ai!).

Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui! J'espère que ce petit article vous a plu, n'hésitez pas à me le faire savoir en commentaire! On se retrouve prochainement pour une nouvelle chronique, en attendant comme toujours prenez soin de vous et lisez beaucoup! :)

AnGee.

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